L’article qui suit est extrait de la revue Nucléaire et énergies de juin 2017, publiée par l’ARSCA (association d’ anciens et de retraités d’AREVA), qui est vivement remerciée. Le repli massif de la construction de réacteurs nucléaires s‘est soldé par une chute spectaculaire du cours de l‘uranium (Lire : Le
Plus de 100 ans se sont écoulés depuis que la première lampe à énergie géothermique, fabriquée par le prince Piero Ginori Conti à Larderello (Toscane, Italie), a été allumée, en 1904. Pourtant, en 2017, la production d’énergie électrique d’origine géothermique revient sous le feu des projecteurs, et son potentiel suscite
Au lendemain des chocs pétroliers des années 1970, la perspective récurrente d’un prochain épuisement du stock en terre des hydrocarbures est redevenue d’actualité, notamment sous la plume des défenseurs de la thèse du peak oil. Les choses ont évolué différemment avec la mise en exploitation de gisements moins conventionnels (Lire
Cet article publié en espagnol sous le numéro 019, a été traduit par Margaux BARBOTIN et Manon BERTHET, Formation: Master 1 Traduction Spécialisée Multilingue, Université Grenoble Alpes L’Argentine a atteint l’autosuffisance en pétrole et en gaz naturel à la fin des années 1970 presque exclusivement grâce à la compagnie pétrolière argentine
Più di cento anni sono passati dall’accensione della prima lampada grazie all’energia geotermica, avvenuta a Larderello nel 1904 ad opera del principe Piero Ginori Conti, e tuttavia la generazione di energia elettrica da fonte geotermica è oggi oggetto di rinnovata attenzione e presenta un potenziale di grande interesse in tutto
« With coal and other fossil fuels remaining dominant in the fuel mix, there is no climate friendly scenario without CCS…. For the International Energy Agency (IEA), CCS is not a “silver bullet” by itself, but a necessary part of a coherent portfolio of energy solutions that can reinforce one another »
Depuis qu’a commencé leur extraction massive aux Etats-Unis à partir de 2005 [notice 031], les gaz de schistes ont pris place sur le devant de la scène énergétique mondiale, ce qui ne signifie pas que l’on en connaisse bien la formation et les conditions d’extraction. 1.La formation du gaz de
Jusqu’au début des années 2000, le gaz naturel exploité, essentiellement le méthane, était issu de trois sources : les réservoirs d’hydrocarbures dits conventionnels, la transformation pétrochimique d’hydrocarbures lourds et le biogaz. Depuis une dizaine d’années, avec la raréfaction des ressources fossiles, l’exploitation de réservoirs de gaz non-conventionnels s’est développée, principalement
À la veille de la guerre de Sécession, en 1860, alors que l’Europe occidentale extrait déjà plus de 120 millions de tonnes (Mt) de houille de son sous-sol, les États-Unis n’atteignent pas les 20 Mt[1]. Les gisements d’anthracite, de charbon bitumineux et sous-bitumineux y abondent à l’Est comme à l’Ouest,
Il est possible de lire la traduction française. Argentina alcanzó su autoabastecimiento de petróleo y gas natural a fines de los años 1970 por obra, casi exclusivamente, de Yacimientos Petroleros Fiscales (YPF) estatal (Figura 1). Es decir que los hidrocarburos que se consumían en Argentina eran extraídos de los propios
En 2014, la place dominante qu’occupent les hydrocarbures dans la consommation énergétique mondiale (60%) justifie les interrogations qui entourent leurs ressources encore accessibles. Leurs explorations et leurs exploitations exigent une connaissance optimale de l’histoire géologique et géodynamique qui ont donné naissance aux hydrocarbures (Lire : Le gaz de schiste et La
Le terme charbon recouvre une assez grande gamme de combustibles solides selon la teneur en carbone, hydrogène et oxygène. De l’un à l’autre, le pouvoir calorifique de la matière organique, la teneur en cendres, en eau et en diverses impuretés varient donc. Dans les statistiques, on additionne souvent des tonnes